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 AHMED-BEN-MOUSSA-EL-HASSANI-MOULEY-KERZAZ

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ORDRE RELIGIEUX DES KERZAZYA OU AHAMMEDIIN
fondé par le Chérif
AHMED-BEN-MOUSSA-EL-HASSANI-MOULEY-KERZAZ
(1608 de J.-C. — 1016-1017 de l’Hégire(1))
Sid Ahmed-ben-Moussa-el-Hassani appartenait à la
grande famille des Idrissites, qui est celle de l’empereur du
Maroc et du chef de l’ordre des Taïbya.
Il naquit à Kerzaz, oasis au sud-ouest de Figuig, vers
l’an 1502 de J.-C. (907-908 de l’H.) et y mourut à l’âge de
108 ans, après une vie exclusivement consacrée aux exercices
religieux les plus austères.
Il avait embrassé avec ardeur les doctrines mystiques des
Chadelya, et était moqaddem de cet ordre, quand, à la suite de
jeûnes prolongés et de nuits passées en prières, il eut des extases
et des visions, dans lesquelles Dieu lui ordonna de bâtir un monastère
et lui révéla le dikr qu’il devait donner à ses disciples.
Sid Ahmed-Moussa, dit la tradition, consulta ses maîtres
spirituels, parmi lesquels se trouvaient le célèbre Si
Ahmed-ben-Youcef-er-Rachedi-el-Miliani, mort en 1526 de
J.-C. (932-933 de l’H.), et le non moins célèbre Sid Ahmedben-
Abd-er-Rahman-es-Saheli, dont le tombeau et la zaouïa,
situés à 70 kilomètres sud-ouest d’Aïn-Chaïr, près de l’Oued-
Guir, sont restés l’objet de la vénération des fi dèles et le but
de très nombreux pèlerinages.
____________________
(1) On dit aussi Kerzazin ; cette expression, bien que très usuelle, est
moins correcte.
— 343 —
Ces saints personnages ayant engagé Sid Ahmed-ben-
Moussa à obéir à la volonté de Dieu, clairement manifestée
dans ces songes, celui-ci fi t connaître sa mission, et enseigna
le Dikr qui lui avait été révélé.
De très nombreux miracles(1) affi rmèrent bientôt, aux
yeux de tous les Musulmans, l’authenticité des révélations
reçues par Sid Ahmed-ben-Moussa, et le nombre des adeptes
ne tarda pas à devenir considérable.
Les doctrines de l’ordre de Sidi Moussa sont identiquement
les mêmes que celles des Chadelya. On y observe les
mêmes principes fondamentaux, les mêmes règles, les mêmes
recommandations que chez tous les Soufi s en général :
l’obéissance passive et absolue au chef de l’ordre et à ses représentants
; le renoncement complet aux biens de ce monde,
la retraite, l’oraison continue, sont prescrits aux Ahammediin,
à peu près dans les mêmes termes que dans les autres ordres
dérivés des Chadelya : on ordonne formellement aux khouan :
« de rejeter tout raisonnement, comme conduisant à l’erreur,
et de se laisser en tout guider par les chefs spirituels, conformément
aux inspirations de la foi ; de mépriser la mort, de la
souhaiter même quand on combat pour Dieu. »
Ce que ne dit pas la doctrine écrite, mais ce qui cependant
est très réel, c’est que, dans la pensée du fondateur de l’ordre,
comme dans la conduite constante de ses successeurs spirituels,
un des objectifs que se proposent les adeptes de Sid Ahmedben-
Moussa, est la protection des Ksouriens contre l’élément
nomade. Cette protection, toute religieuse, donnée aux faibles
et aux humbles, contre les puissants et orgueilleux Nomades,
____________________
(1) Parmi ces miracles, le plus célèbre est celui où Sid Moussa, en
voyage avec ses disciples et prêt à mourir de soif, fi t jaillir une source en posant
sa main sur un rocher. Étant donné le nom du personnage, Moussa, qui
est Moïse, le miracle était tout indiqué dans une légende hagiographique.
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est trop remarquable pour ne pas être signalée, à la louange de
l’ordre. Il y a, en outre, dans ce fait le principe d’une rivalité
possible avec une autre congrégation Chadelya du Maroc, celle
des Zianya qui, eux, s’adressent surtout à l’élément nomade.
Une autre habitude, particulière aux adeptes de Sid Ahmed-
ben-Moussa, consiste à n’accepter d’aliments, de gens
étrangers à l’ordre, que s’ils ont été préparés spécialement
pour eux ; ce n’est pas, d’ailleurs, que ces aliments aient besoin
d’une préparation particulière, il suffi t qu’ils aient été
cuits et servis à part. Aussi, les Kerzazya, invités à un repas où
il y a déjà d’autres personnes, s’excusent-ils toujours. Quelle
est l’origine et quel est le but de cette singularité ? Est-ce une
obligation liturgique ou un simple usage ? C’est ce que nous
n’avons pu savoir.
Les khouan de l’ordre de Mouley-Kerzaz donnent la liste
suivante, comme chaîne mystique rattachant leurs doctrines à
celles des pères de l’Islam :
L’ange Gabriel. — Mohammed. — 1, Ali-ben-Abou-Taleb. — 2,
El-Hassan-el-Bosri. — 3, Hâbib-el-Hadjemi. — 4, Daoud-et-Taï. — 5,
Marouf-el-Kerki. — 6, Sari-es-Sakati. — 7, ER-DJONEID. — 8, Abou-
Taleb-el-Mekki. — 9, Ahmed-el-Ghazsali. — 10, Mohamed-ben-Abou-
Beker-bel-Arabi. — 11, Ali-ben-Arzhoum. — 12, Mahmed-Abou-Iazza.
— 13, Abou-Median-Choaib-el-Andalousi-et-Tlemsani. — 14, Abouzidel-
Bostami. — 15, Abd-es-Selem-ben-Mechich. — 16, ABOU-EL-KACEM-
ECH-CHADELI (1258 de J.-C., 655-56-57 de l’H.). — 17, Abou-
Abbas-Ahmed-ben-Omar-el-Moursi (686 de l’H., 1287-88 de J.-C.). —
18, Ahmed-ben-Abd-el-Kerim-ben-Ata-Allah. — 19, El-Kebabi. — 20,
Es-Saharaoui. — 21, Abd-Allah-el Kerafi . — 22, Abd-Allah-es-Sakhri, —
23, Ahmed-Zerrouk (1494 de J.-C., 899-900 de l’H.). — 24, Ahmed-ben-
Abd-er-Rahman-es-Saheli(1). — 24 bis, Sid-Ahmed-ben-Youcef-el-Miliani
____________________
(1) Ahmed-ben-Abd-er-Rahman-es-Saheli, comme moqaddem des
Chadelya, a été le cheikh (maître, directeur) du grand Sidi Cheikh (Abd-el-
Kader-ben-Mohammed), mort en 1583 de J.-C. (990-991 de l’H.), ancêtre
des Ouled-Sidi-Cheikh (Cheraga et R’raba).
Les descendants de Saheli ont, dans le Tafi lalet, une zaouïa très vénérée, et
les Ouled-Sidi-Cheikh, comme les Kerzazya, y vont faire encore leurs dévotions.
— 345 —
er-Rachidi. — 25, Ahmed-ben-Moussa (vers 1608 de J.-C, 1016-1017 de
l’Hégire).
Les chefs de l’ordre qui se sont succédés depuis la mort
du fondateur, et qui ont toujours été choisis dans sa famille,
sont :
Mohammed-ben-Djerad, Abd-er-Rahman-el-Hamzaoui, Abd-er-Rahman-
ben-Feldja (Mahmed-el-Ayachi ?), Mahmed-ben-Abd-er-Rahman,
Mohammed-ben-Mohammed-Mouley-et-Hadj (Si Abd-Allah-ben-Abder-
Rahman ?), El-Kebir-Assoun-ben-Mahmed, Ali-ben-Hassoun, Mohammed-
ben-Abd-Allah-Mouley-Djemâa. Mohammed-ben-Mohammedech-
Cherif-et-Touati, Mohammed-Ali-ben-Mohammed, Mohammed-ben-
Ali-ben-Abd-er-Rahman, El-Kebir-ben-Mohammed (mort en 1881) et Sid
Ahmed-ben-Sid-el-Kebir-bou-Hadjaja, chef actuel de l’ordre.
Le Dikr des Kerzazya est, en principe, celui des Chadelya,
que Sid Ahmed-ben-Moussa voulut conserver intégralement
; mais, pour bien distinguer ses adeptes des autres
Chadelya, il ajouta l’obligation supplémentaire de réciter 500
fois, tous les matins, la première phrase du Coran : « Au nom
de Dieu clément et miséricordieux, » mais cela n’est obligatoire
que depuis le, premier jour de l’hiver jusqu’au dernier de
cette saison.
Les gens exerçant une profession manuelle, et ceux dont
le temps n’est pas continuellement disponible, ont la faculté
de se borner à ne prononcer que 100 fois la phrase consacrée.
Mais il est de toute rigueur que le Dikr soit articulé, selon les
cas, 500 ou 100 fois, sans augmentation ni diminution.
Le prononcer une seule fois en plus, ou en moins, obligerait
le fi dèle à le recommencer, et cette répétition enlèverait
à l’invocation une partie de ses mérites surnaturels.
L’organisation constitutive de l’ordre de Mouley-Kerzaz
est très forte et très centralisatrice. Le grand-maître ou cheikh,
a plusieurs khalifas, chaque moqaddem a plusieurs naïb. Enfi n,
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au-dessous des khouan, il y a encore un grand nombre de serviteurs
religieux.
Ceux-ci sont les gens qui, volontairement, apportent des
ziara aux moqaddem, sans cependant réclamer leur affi liation.
Ils ne sont donc pas astreints aux pratiques de l’ordre, et les
secrets de l’Ouerd ne leur sont point révélés.
Nous avons dit déjà que le grand-maître, résidant à Kerzaz,
était toujours pris dans la famille du fondateur il est, le
plus ordinairement, désigné par le nom de Mouley-Kerzaz, le
seigneur (maître) de Kerzaz. Seul il a le droit de conférer le
diplôme de moqaddem.
La zaouïa-mère est extrêmement pauvre, ou du moins
passe pour l’être. Cela tient à ce que tous les grands-maîtres,
qui se sont succédés dans la direction de l’ordre, ont rigoureusement
observé, pour eux-mêmes, le principe du renoncement
aux biens de ce monde, et ont donné, à tous, 1’exemple de la
pauvreté volontaire. Cette réputation d’austérité, de désintéressement,
et aussi de générosité, n’a pas peu contribué à la
grande vénération dont cet ordre est l’objet de la part de tous
les fi dèles.
Les khalifa sont, à quelques exceptions près, choisis
dans la famille de Sid Ahmed-ben-Moussa. Ils ont un rôle
d’inspection permanente sur les moqaddem, chacun dans
une région déterminée, font de fréquentes tournées, vérifi ent
la façon dont se donne l’enseignement, reçoivent les plaintes
contre les moqaddem et encaissent les ziara destinées au
grand-maître et à la zaouïa-mère.
Ils peuvent, en cas d’urgence, nommer ou révoquer les
moqaddem, sous la réserve de la sanction du chef de l’ordre.
Les moqaddem sont toujours choisis par les khouan, présentés
au khalifa en tournée, et nommés par diplôme du grand-maître
de l’ordre. Ils sont très facilement révoqués, lorsqu’ils mécontentent
soit le chef de l’ordre, soit les affi liés. Contrairement
— 347 —
d’ailleurs à ce qui se passe dans la plupart des congrégations
musulmanes, les moqaddem perçoivent, à leur profi t, les ziara
des khouan, et ne sont tenus à prélever, pour le chef de l’ordre,
qu’une quote-part laissée à leur générosité.
L’admission d’un néophyte ne se fait pas en hadra ; le
moqaddem doit, au contraire, se trouver seul avec lui tous
deux se tendent les mains, enlacent leurs doigts et se regardent
fi xement.
Le moqaddem fait jurer ù l’aspirant de ne point trahir les
secrets qui lui seront confi és, et d’observer fi dèlement toutes
les pratiques de l’Ouerd. Après avoir reçu ce serment, le moqaddem
adresse au néophyte une grave et longue exhortation,
puis il lui révèle les prières spéciales de l’ordre, le Dikr, la
règle, et les divers secrets qu’il doit garder.
Quand l’admission est demandée par une femme, la
cérémonie est la même, sauf que l’enlacement des doigts
est remplacé par l’immersion des mains dans un vase rempli
d’eau.
Aucun diplôme n’est délivré aux simples khouan.
Tous les membres de l’ordre ont, comme marque distinctive
extérieure, un anneau de fer passé dans leurs chapelets,
anneau dont le diamètre intérieur est un peu plus grand
que celui des grains de chapelet.
Outre ce signe visible, ils ont, comme moyen de reconnaissance
entre eux, plusieurs mots mystiques, connus d’eux
seuls et qu’il leur est défendu de révéler à qui que ce soit,
étranger à l’ordre.
Les khouan de l’ordre Mouley-Kerzaz affectent de se
tenir en dehors des affaires politiques et des soffs locaux.
Le chef d’ordre et ses khalifas interviennent souvent,
comme arbitres ou conciliateurs, entre les partis rivaux, mais
leur action se borne à empêcher l’effusion du sang.
Le chef de l’ordre a toujours cherché à entretenir de
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bonnes relations avec les autorités françaises des cercles qui
touchent à la frontière marocaine. Nos dissidents des Ouled-
Sidi-Cheikh ont, souvent, il est vrai, trouvé refuge et bon accueil
à la zaouïa de Kerzaz ; cependant la conduite des chefs et
affi liés Ahammediin a toujours été correcte vis-à-vis de nous,
si toutefois on tient compte de leur indépendance politique, et
de leur action religieuse qui leur impose une stricte neutralité.
Pendant la dernière insurrection, et depuis la mort de Sid El-
Kebir (1881), nos relations avec Kerzaz ont été plus cordiales
que jamais, et le chef actuel de l’ordre nous a même offert son
entremise, pour ramener une partie de nos dissidents réfugiés
au Maroc.
L’ordre de Mouley-Kerzaz a des adeptes dans toutes les
tribus de l’Est et du Sud marocain, depuis les Beni-Snassen
jusqu’au Touat, où la zaouïa de Kerzaz possède de nombreux
domaines : les groupements les plus serrés sont chez les Beni-
Guill et les Douï-Menia, et aussi chez les Hamyan (Djamba et
Chafâa).
Dans la province d’Oran, ils sont nombreux dans tous
les ksour du Sud-Ouest ; mais au delà du cercle de Sebdou,
ils sont clairsemés, et leur limite d’extension vers l’Est est :
Aïn-Temouchent, Tlemcen.
La statistique offi cielle, donne pour eux :
Province d’Oran : 62 moqaddem, 2,924 khouan ; soit
2,986 affi liés.
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